Jeudi 8 décembre 4 08 /12 /Déc 23:17

L'ennui règne dans une résidence de grande école, en grande banlieue parisienne, loin de tout. Seules activités possibles : celles organisées par les élèves (et on en fait rapidement le tour) et les discussions sans fin dans les chambres.

Ce soir là nous étions quatre dans la chambre de Véronique et la conversation était venue sur le terrain des paris et des risques. Jacques nous parlait d'un film (j'ai oublié lequel) avec une scène de roulette russe. Béné soutenait qu'il fallait être fou pour faire un truc pareil. Véro lui a répondu que c'était le résultat de l'ennui qui peut conduire à faire n'importe quoi, rien que pour se changer les idées, pour montrer que l'on existe, pour sentir un frisson.

J'ai fait remarquer que coté ennui nous étions servis mais que nous n'avions pas de six coups. A cet instant la conversation a basculé du général au particulier et nous a entraînés vers une situation inédite.

Véro : « C'est le principe qui compte. Prendre un risque. Faire un pari fou »

Jacques «  Tu serais prête à risquer ta vie pour éviter l'ennui ? »

Béné : « Non, l'époque a changé. »

Véro : « Moi je meurs d'ennui ! Je serais prête à tout pour me changer les idées, mais qu'en même pas à risquer ma vie. 

Jacques : « C'est le principe du pari qui est important. Prendre un risque énorme, quelque chose qui dépasse les bornes, les conventions. Le jeu c'est l'excitation, le regard des autres, le pari avec soi-même.  »

Béné : « Si tu es prête à tout Véro, il doit bien avoir quelque chose que tu ne veuilles absolument pas faire et qui pour toi revienne à l'idée d'une balle dans la tête. Je ne sais pas moi, te promener à poil dans la résidence par exemple. »

Jacques : « Avec les fesses bien rouges pour montrer que tu es encore une petite fille punie? »

Véro (qui commençait à ne plus maîtriser la situation mais ne voulait en aucun cas avoir l'air de se dégonfler) : « C'est vrai que l'humiliation serait horrible, sentir tous les regards sur moi. Etre fessée c'est autre chose, ma peur c'est la douleur, recevoir des coups de martinet, de fouet, être marquée. Il y a toujours un fantasme qui fascine et fait horreur. Dommage, nous n'avons ni martinet, ni fouet et surtout il manque l'essentiel : le six coups pour le hasard. Il ne nous reste plus qu'à mourir d'ennui ! »

Moi : « Tu frimes mais tu ne prendrais pas le risque ! »

Béné : « On peut toujours remplacer le martinet par une brosse à cheveux et le fouet par ta cravache ! Pour le six coups j'ai un dé, alors chiche ? Tu es prête à vaincre l'ennui ? »

Coté ennui, il faut reconnaître que notre conversation l'avait totalement fait disparaître. Tout le monde a regardé Véro. Piégée. Elle a inspiré un grand coup :

« OK » et elle a ajouté, probablement par bravade, « mais seulement sur les fesses la cravache ! »

C'est nous qui étions bluffés. Je regardais Véro, la bouche ouverte. Il faut dire que Véro est une très jolie fille de vingt ans, châtain clair, une sportive tout en courbes harmonieuses. Rien qu'à l'idée de la voir nue, je sentais mon corps réagir !

Béné s'est levée nous annonçant qu'elle allait chercher un dé dans sa chambre tout en demandant à Véro de sortir sa cravache. Véro l'a arrêtée d'une phrase : « Et toi, tu lances le dé après moi ? »

Un silence.

Tout le monde regarde Béné : brune, tout en rondeur, la poitrine arrogante sous un top moulant.

« Chiche ! »
Tout semblait dit.

En attendant le retour de Béné j'ai resservi un verre à chacun (l'alcool n'était probablement pas étranger à la situation).

Au retour de Béné, Jacques a fait le point : « Tu lances le dé, si tu fais un un le coup de feu part. Alors tu fais un strip-tease intégral, tu reçois une fessée puis tu t'appuies sur le dossier de la chaise pour recevoir la fessée à la main et enfin tu t'allonges sur le lit pour la cravache. »

Nous avons tiré les rôles au sort : la fessée sur les genoux de Jacques, la brosse de ma main puis Béné pour la cravache.

A nouveau le silence c'est installé. Véro a pris le dé et l'a regardé longuement. J'ai cru qu'elle allait renoncer. Puis d'un grand geste de la main le dé est lancé : alea jacta est.

Après quelques rebonds il s'arrête : deux. Véro souffle un grand coup. Elle nous fait un grand sourire puis passe le dé à Béné : « Tu va voir, c'est l'enfer ! »

Nouveau silence, nouveau lancé, cette fois ci le trois sort. Béné sourit. Jacques leur demande l'impression que cela fait de tout miser sur un coup de dé. Les filles tentent de nous expliquer l'angoisse, la poussée d'adrénaline, la conviction qui s'installe un instant : je vais perdre, puis le soulagement. C'est alors que Jacques a le malheur d'insister. Béné prend le dé et lui tend : « Il n'y a qu'une façon de comprendre. »

Jacques nous regarde, il n'a plus le choix. Il lance le dé : six. Il me tend le dé.

Ce n'est pas vraiment une surprise. Il me vient alors une idée : « Moi je n'ai rien demandé alors je lance ce dé si vous êtes d'accord pour un deuxième tour. »

Tour de table du regard : Véro acquiesce, Béné aussi. C'est parti. Je lance. Il faut reconnaître que rien ne vaut l'expérience. J'ai l'impression que le dé tourne des heures, je retiens mon souffle : six.  Je respire.

Tout le monde finit son verre, l'excitation est là. Jacques, toujours aussi cartésien, cherche à nous expliquer que les probabilités sont contre nous après quatre lancés « ratés ». Béné lui répond qu'elle ne comprend pas trop comment le dé fait pour se souvenir des lancés ratés.

Véro prend le dé et le silence se fait instantanément. Elle se concentre longuement, laisse l'angoisse s'installer.

Lancé, le dé tourne, rebondit puis s'immobilise sur le un.

Tous les regards se portent sur Véro. Elle pâlit, nous regarde. Elle semble avoir du mal à réaliser. « Tu es morte » : Béné vient de rompre le charme.

Véro semble revenir parmi nous. D'une voix pas très assurée, mais qui le serait, elle nous dit : « OK, j'ai parié et j'ai perdu ». Nous la regardons tous, va-t-elle aller jusqu'au bout ou tenter une feinte ?

Ses mains tremble un peu quand elle les porte vers le bas de son tee-shirt. Elle le passe par dessus sa tête et nous présente ainsi une superbe poitrine dans un soutien-gorge en dentelles blanches. Les mains dans le dos et celui-ci tombe. Deux seins se présentent sous nos yeux. Bien fermes, pas trop gros, juste comme je les imaginais depuis des mois sans même rêver de les voir un jour. Véro évite nos regards.

 

« Pas trop dur ? » C'est Béné qui cherche à soulager la tension qui s'installe. Je sers un verre à Véro. Elle se penche pour le prendre et mes yeux ne peuvent se détacher de ses seins qui se balancent légèrement.

Véro reprend des couleurs et se lève. « Tant que j'ai le courage » Cette fois ci c'est le bouton de son jean que ses mains fébriles vont défaire. Elle le descend lentement son pantalon le long de ses jambes, nous laissant voir une jolie culotte assortie au soutien-gorge. Vous devinez où se porte mon regard, par transparence j'aperçois sa toison et je dois bouger sur ma chaise tant la tension monte.

Véro s'assoit et retire complètement son jean et ses chaussettes. Elle nous regarde à nouveau et se relève. L'instant de vérité. Elle ne recule pas. Lentement elle baisse sa culotte et nous dévoile son ventre. La culotte tombe. Véro est là, devant nous, nue comme à sa naissance. Mon regard ne sait plus où se porter. Il va de ses seins à son ventre, cherche à deviner son sexe que sa toison et ses jambes serrées ne nous laissent qu'entrevoir.

Vous imaginez la scène. Une chambre d'étudiant, deux garçons et une fille assis autour d'une table et tous regardent une jolie fille qui se tient debout, nue, devant eux, avec les mains agitées qui de toute évidence iraient bien masquer quelques points stratégiques mais que le ridicule retient.

 

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Béné prend à nouveau le contrôle de la situation. « Tu connais la suite. On commence par la fessée, installe-toi sur les genoux de Jacques. »

Véro : « Quelles sont les limites ? »

Béné : « Il n'y a pas de limites, tu as parié pour l'humiliation et la douleur rappelle-toi. Alors tu n'as plus qu'à t'en remettre à notre jugement. »

Jacques a reculé sa chaise et attire Véro vers lui. Comme elle passe devant moi je peux enfin la voir de dos. Elle est impressionnante. Deux superbes fesses sous une taille étroite attirent mon regard. Le sport lui a sculpté un corps de rêve.

Elle s'allonge sur les genoux de Jacques. Celui-ci l'a fait se positionner avec les fesses bien au centre. Ses mains attrapent les pieds de la chaise. Jacques pose une main sur son dos, l'autre sur ses fesses. Véro sursaute mais ne dit rien.

La main se lève, elle claque. C'est parti lentement, Jacques n'ose pas taper trop fort. Il prend son rythme. Véro se détend. Béné et moi avons le regard fixé sur le spectacle.

Jacques s'enhardit. Sa main tombe plus vite. Les fesses rosissent. Véro respire plus fort. C'est la vraie fessée, celle qui a peuplé nos cauchemars d'enfant. Véro remonte une main pour se protéger, Jacques l'attrape et la tient collée sur le bas du dos. La fessée s'accélère, les fesses rougissent. Les jambes s'agitent.

En s'écartant les jambes nous dévoilent tous les secrets cachés. Une jolie fente dans son écrin de poils blonds. Jacques perd sa cadence, déconcentré. Il s'arrête. Sa main caresse les deux globes bien rosis.

Il relève la main. « On va voir si tu es courageuse. » Sa main s'abat plus fort que jamais. « Un », « Deux », Véro s?agite, « Trois », « Quatre », « Moins fort ! », « Cinq », « Six »,..., « Dix ». Une pause. Véro a les fesses toutes rouges et Jacques lui annonce : « Plus que dix ». Les dix dernières claques sont tout aussi fortes. Véro se débat un peu. Les larmes ont perlé. Quand Jacques s'arrête, Véro reste allongée, les deux fesses bien rouges. Elle reprend son souffle, se frotte les yeux et se relève.

« Tu n'es pas prête pour la suite, tu vas attendre un peu au coin, les mains sur la tête. »

Véro regarde Béné, puis choisit d'aller au coin. Ses fesses sont bien rouges et nous profitons du spectacle.

Dix minutes plus tard, Véro se retourne et se dirige vers la chaise qu'elle occupait encore il y a peu. « Vas-y, mes fesses sont à toi ! »

Béné me tend la tapette en osier dont se sert la femme de ménage pour secouer les tapis des chambres.

Il est allé la récupérer dans le local de service de l'étage et compte bien qu'elle serve à martyriser les fesses de Véro.

Je m'approche lentement de Véro : « Tu va retourner la chaise, appuyer ton ventre sur le dossier et poser tes mains sur le siège. »

Véro se plie de bonne grâce à mes consignes et me présente ses fesses en serrant bien les jambes. « Maintenant appuie un pied à l'extérieur de chacun des pieds de la chaise. »

Véro ne bouge pas, un silence s'établit que Béné rompt : « Allons Véro montre-nous que tu vas au bout de tes idées, tu ne va pas nous en montrer plus que tout à l'heure quant tu agitais les jambes ! »

A nouveau Véro s'incline et elle écarte les jambes. Elle sait bien que, placé comme je suis, je vois son sexe et même son anus, en gros plan. C'est dans le sillon de ses lèvres que mon regard s'égare.


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« Comme la soirée est sous le signe du hasard Jacques va lancer le dé deux fois : le nombre de coups sera égal au produit des résultats. » Jacques prend le dé et lance, Véro le regarde rebondir : quatre. Véro s'agite, elle a bien compris qu'avec un résultat pareil tout était encore possible, de 4 à 24 la différence est grande. Nouveau lancé : trois. Soupir de Véro.

Je lève mon bras : « un », le claquement de l'osier sur sa fesse nous surprend, Véro pousse un petit cri. C'est clair, le contact de l'osier est plus douloureuse que la main de Jacques. « Deux », l'autre fesse, « trois », chacune leur tour, « quatre », « cinq », « six ».

Un cri et les mains de Véro qui viennent couvrir ses fesses me montrent que sa volonté faiblit. Je m'arrête et lui laisse le temps de se frotter le derrière. Le frottement a pour effet d'écarter encore plus les deux globes, bien rouges à présent, et d'entrouvrir son sexe m'offrant un regard plongeant sur un chemin que j'emprunterais bien !

Véro enlève les mains et les repose sur la chaise. J'admire son courage et j'enchaîne les six derniers coups en tapant moins fort. Véro porte à nouveau les mains à ses fesses et se redresse. Elle se retourne, ses yeux sont remplis de larmes qu'elle refoule. Elle me sourit et me remercie puis se tourne vers Béné.

Béné est debout à coté du lit. Elle a posé l'oreiller au milieu et tient la tapette à la main.

Véro inspire un grand coup et se dirige vers le lit : « Combien ? » « Six me semble un bon nombre, mais si tu te protèges ou si tu bouges le coup ne compte pas ! » Véro la regarde, surprise par ces règles. « Béné, il y a quelque chose que tu oublies et pas moi : tu es la prochaine à utiliser le six coups ! »

Elle s'allonge, les fesses rehaussées par l'oreiller. Béné lève la cravache et frappe une première fois. La tapette  claque et semble s'enfoncer dans les fesses. Véro pousse un grand cri, ses mains se jettent sur ses fesses qui sont maintenant barrées d'une ligne qui fonce rapidement. Béné, qui n'a jamais manié de cravache ou tout autre instrument de ce style, n'imaginait pas la force de son coup. « Pardon, tu veux qu'on arrête ? »

C'est là que Véro nous surprend tous : « J'ai parié et j'ai perdu alors vas-y continue, encore six et fait en sorte de taper aussi fort, sinon tout le monde aura l'impression que j'ai triché. »

Véro retire ses mains qui empoignent fermement le dessus de lit. Béné hésite, nous interroge du regard, puis lève le bras. Véro ne bouge pas. Le bras retombe, la "tapette" claque, Véro sursaute. Une deuxième "double ligne" marque les fesses. Les coups se succèdent lentement. Arrivée à six (ou plutôt à sept) Béné s'arrête.

Dans un premier temps Véro ne bouge pas puis elle se retourne et se lève. Des larmes ont coulé sur ses joues. « C'est fini ou est-ce que je dois aussi aller me promener dehors pour monter mes fesses ? », demande t'elle d'une voix tremblante.

Elle se tient devant nous, nue, les joues humides, la poitrine tremblante, le souffle court et les fesses toutes rouges marquées de lignes sombres.

 

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Nous avons tous la conviction que si on lui dit de le faire, elle va le faire. La réponse est unanime : « C'est fini »

Nous nous asseyons à nouveau, sauf Véro que nous avons décidé de mettre au coin, le temps pour ses fesses de se reposer et de changer de couleur.

Au bout d'une vingtaine de minutes,Véro nous propose d'en rester là pour ce soir, mettant en avant une fatigue bien compréhensible.

 

 

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Par histoires-69-coquines
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